Je pense à cet homme dit pervers,
Ce bienfaiteur des vieux enfants,
De la progéria, tendre amant,
Qui donne du plaisir à des pierres.
Je regarde la lubrifiante vérité,
De cet amateur de bocal,
De sa passion du monde fécal,
Qui exhibe son intimité.
Je respire les mots enjoués,
De ce petit chef aux grands airs,
De sa logorrhée debonaire,
Afin de choquer l'"opprimé".
Je vomirai dans mes poumons,
Une bile glaiseuse aux lueurs de plombs,
Un caillot vert d'exhalaisons,
Une chape de suif et de goudron.
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