Fal'Citations

Quelques citations de sources plus ou moins sur :

• "Le mystère est une chose, le fromage en est une autre ... on est alors en droit de se demander : Pourquoi La Vache Qui Rit rit ?" disait l'ivrogne au coin de ma rue
  
• "Le savon est aussi gras que les juifs." disait Hitler
• "Si un français sur deux était végétarien, non seulement notre cheptel de bonne vache française serait plus conséquent mais en plus ... en plus messieurs-dames ... nous aurions moins d'herbe à désherber !" disait Nicolas Sarkozy
• "Avec tout ce que j'ai fais, on s'étonne que je sois en odeur ..." disait Jeanne Calmant peu de temps avant sa mort
  
• "A défaut de moutons, je me contenterais d'enfants" disait le Pape à Dieu
• "Le temps est venu ... mais déçu du spectacle, il est reparti aussi sec !" disaient autrefois les bédouins
• "C'est un trou ! ... c'est un gruyère ! ... c'est un puis sans fond ! Que dis-je, un puis sans fond ? ... C'est un gouffre !" disait Fred Copulla en parlant de Clara Morgane
• "La vie est dure surtout dans les coups de mou." disait un vigneron
• "La vieillesse c'est comme une carotte sur un bonhomme de neige, c'est fripé de partout, à un bout c'est froid et sec, et à l'autre très humide ..." disait le président des surgelés Picard
• "Ce furent les 30 premières et dernières minutes de ma non-existence." disait un spermatozoïde avant de passer au micro-onde
• "Des fois, j'aime à me soustraire à la réalité mais de moins en moins ces temps ci. Je suis divisé ..." disait Descartes
• "Magique, avec 2 V !" disait un acrobate
• "Quand l'homme s'éteint, la femme aussi ... cet adage capillaire n'est pas réciproque." disait Jean-Louis David
• "La terre est plate ... plate comme ma femme." disait Thalès
  

Le Colimaçon

La vie c'est un escalier à double sens. Tantôt on monte, tantôt on descend. Lentement mais indubitablement, il nous mène tous à la même destination. Arrivé à un certain niveau, à l'image du crépis qui s'étiole sur les murs et fini par tomber, nous sautons des marches dans une chute ascensionnelle à sens unique. Mais jamais cet escalier en colimaçon ne s'arrête, dans une candeur de pierre sucrée, il boucle en un infini möbiusien. Nous n'apprenons lors pas de nos erreurs mais nos erreurs se gargarisent de nous. L'escalier devient un piège, un poids, une malédiction. Nous forçant à errer dans les entre-marches par déjà tant de pieds foulés. Une piètre destinée dans un labyrinthe de fredaines. Quand à ceux qui s'essayent à sauter des marches ou à rebrousser chemin alors qu'il n'est pas l'heure ... ils perdent tout sens. Ils laissent tomber la vie.

Mon ami Joe

Joe est un nègre. Mais pas n'importe lequel, c'est un nègre intégré. Un cas exceptionnel, un mouton noir oserais-je même dire. Bref, voici la vie de Joe ... espérons qu'il demeure un cas unique.

Joe quand il était jeune avec un de ses riches camarades. En effet Joe aime l'argent et est près à tout les sacrifices pour en avoir.

Joe était vraiment très con quand il était jeune, maintenant c'est un peu mieux. Sa belle amitié avec le blanc sur la droite prendra fin avec le mystérieuse disparition d'un baladeur.

Joe avec son pote geek ... quelque chose me dis qu'il aime les queues de cheval.

Joe, grand fan de Harry Potter, mettant la main (ou autre chose) au cul de Ron Wesley qui a l'air d'apprécier d'ailleurs.

Comme tous les nègres, non seulement Joe est gay mais en plus il est aussi ... disons qu'il apprécie la jeunesse. La seule photo un peu montrable de sa rencontre avec Luna Lovegood.

Mais Joe pratique aussi d'autres sports ... à plusieurs. Il faut dire que comme tous ses semblables, il en a une énorme. Une détente énorme bien évidemment.

Joe connais aussi des chinois d'Espagne chanteur de rock. Heureusement pour lui ce n'est pas contagieux, le cumul des tares aurait été des plus terrifiant.

Le TARDIS a déjà pausé avec Joe. Ou plutôt il s'est déjà posé près de Joe.

Joe aime à contempler son harem avec son ami Mac. Mac qui bizarrement pour un blanc n'a rien contre la polygamie ou les montres en or.

Joe n'a pas de limites, il est même prêt à acheter une voiture ancienne pour chopper de la vieille.

Joe aime bien se la jouer James Bond, sauf qu'avec ses grosses lèvres de black, il a surtout l'air d'un trafiquant de chewing-gum russe.

Joe avec son meilleur ami Michael Jackson. L'air sérieux qu'il arbore sur cette photo n'est pas du tout représentatif des longs mois de vacances passé à Neverland.


Heureusement, Joe n'existe pas.

Les photos ont toutes été trouvées sur le web et mettent en scène Lizo Mzimba. Aucun des faits relatés ne sont réels. Et aucunement ne veulent portés préjudice au susnommé.

Volte-Face

Du coin de l'œil l'on nous observe. L'oreille bien droite, l'épaule haute. Peu à peu de l'assurance est gagnée. Mine de rien, tout le reste perd son intérêt. Quand d'un coup, tournée franche du buste ! Toisage en règle. Elle ne s'était pas trompée.

Le prime moteur de Naphta vient de nous dévisager, nous, son ancien admirateur. Nous la nommerons ici M tant son identité a déjà été distillé ici-même et tant il est aisé de la reconstituer par l'écrit. Le paradoxe n'est pas loin, l'éden des naphtaholiques a changé et M tout autant.

Une nouvelle rafale d'yeux s'abat sur nous.

En un peu plus de 6 mois, l'ignorance semble s'être transformée en une observation frénétique. Nous avons sans doute aussi évolué. Comment le chainon manquant entre "Néant Par Nibergue" et "Naphtaholic Par Nature peut-il avoir fait place nette aussi rapidement et surtout aussi facilement ? Et pourquoi ce taxon féminin malgré la déception qu'il incarne, de part sa nature superficiellement anticonformiste, fait-il encor luire les pixels orangés de Naphta ?

Sous le prétexte d'un relassage de bottine plus que suspect, s'exécute une dernière œillade.

Nous sommes arrivés.


"Ils nous oublient à l'arrière ..." - MacZde Carpate in "A l'arrière"

La Corne

Quel est le nom de votre futur croque-mort ? Qui peut vraiment dire ce qu'il apprécie ? Si le rap était un sport, aurait-il meilleur réputation ? Pourquoi le jour cède t-il ça place à la nuit, alors que l'inverse n'a pas été prouvé ? Qu'arrive t-il vraiment quand il ne se passe rien ? Le terme petit gris étant réservé aux extraterrestres, comment nomme t-on le jus de chaussette ? Et surtout, comment font les manchots pour se serrer la paluche ? Le paragraphe qui suit ne répond peut être pas à toute ces questions mais certainement à bien d'autres ...

Le jour est la période d'une journée ou l'on peut se passer d'éclairage. En partant de ce postulat il est facile de déterminer autour de quoi s'articule l'économie actuelle, i.e. le profit et les tartes au fromage. Or ce que la majorité des personnes achètent est, sans le moindre doute, ce que la majorité apprécie. Ainsi la consommation de tartes au fromage permet à la nuit de disparaître au profit du jour. Mais le plus important dans tout cette histoire est que même quand tout, va la nourriture prime sur le profit, ce qui est un facteur environnemental tout à naturel. En parlant de la nature, qu'est ce qu'elle est bien foutue ! En effet lorsque deux manchots se rencontrent, ils lèvent leurs ailes afin de se serrer la paluche, un petit miracle de bienséance. De même que les ivrognes se la tiennent afin d'éviter de choir après une bonne soirée. Et c'est bien la la seul chose qui arrive lorsqu'il ne se passe rien. Sauf peut être les éternuements de pâquerettes ... mais cela reste à prouver !

La Bave

Non. La vie à beau courir, la vie à beau pleuvoir, la vie à beau creuser ... rien de beau. Le temps doucement ... déjà écoulé, jamais totalement. Flux délirants de délicates couleurs ... bigarré par la déliquescence délicieuse de cette vague délibérée ... délimitant une forme de délivrance délignifié.  Par ou ... le commencement ... par quand ... la terminaison. Rien de concret ... juste cette nuit ... cédant sa place. Cet aube de l'humanité ... avant l'envahissement. Avant la parole, avant la phrase, avant le mot et surtout avant le verbe.

Et le verbe fut ...

Non on ne pouvait l'affirmer. La vie à beau courir, la vie à beau pleuvoir, la vie à beau creuser, il ne persiste rien de beau. Le temps doucement s'est, semble t-il, déjà écoulé, jamais totalement. Flux délirants de délicates couleurs, qui luisent bigarré par la déliquescence délicieuse de cette vague délibérée, ils s'accaparent tout délimitant une forme de délivrance délignifié.  Par ou s'est déroulé le commencement qui 'instaure, par quand arrivera la terminaison. Rien de concret ne subsiste, juste cette nuit qui s'enfuit, cédant sa place. Cet aube de l'humanité était ainsi avant l'envahissement. Avant la parole, avant la phrase, avant le mot et surtout avant le silence.