Non. La vie à beau courir, la vie à beau pleuvoir, la vie à beau creuser ... rien de beau. Le temps doucement ... déjà écoulé, jamais totalement. Flux délirants de délicates couleurs ... bigarré par la déliquescence délicieuse de cette vague délibérée ... délimitant une forme de délivrance délignifié. Par ou ... le commencement ... par quand ... la terminaison. Rien de concret ... juste cette nuit ... cédant sa place. Cet aube de l'humanité ... avant l'envahissement. Avant la parole, avant la phrase, avant le mot et surtout avant le verbe.
Et le verbe fut ...
Non on ne pouvait l'affirmer. La vie à beau courir, la vie à beau pleuvoir, la vie à beau creuser, il ne persiste rien de beau. Le temps doucement s'est, semble t-il, déjà écoulé, jamais totalement. Flux délirants de délicates couleurs, qui luisent bigarré par la déliquescence délicieuse de cette vague délibérée, ils s'accaparent tout délimitant une forme de délivrance délignifié. Par ou s'est déroulé le commencement qui 'instaure, par quand arrivera la terminaison. Rien de concret ne subsiste, juste cette nuit qui s'enfuit, cédant sa place. Cet aube de l'humanité était ainsi avant l'envahissement. Avant la parole, avant la phrase, avant le mot et surtout avant le silence.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire